Bonjour à tous, 

Voici un article traitant d’un sujet qui nous intéresse tous, futurs professionnels de la médiation animale et intervenants en médiation animale en activités. Je l’ai trouvé sur le site www.vetopressbox.com. Je ne suis pas d’accord avec tout ce qui est écrit, entre autre sur la notion de « chien thérapeute ». Pour moi ce n’est pas le chien qui est thérapeute, mais bien l’humain qui se trouve au bout de la laisse quand celui-ci a une formation adéquate et reconnue par l’Etat qui lui donne se titre de « thérapeute ». C’est un article sujet à débat et c’est ce que je trouve intéressant. Vous aimez ? Laissez vos impressions et partagez autour de vous. A bientôt pour de nouvelles aventures. Aurélie Vinceneux. 

Eviter le stress chez les chiens thérapeutes ?

Les animaux exercent des effets positifs sur les humains. Ce fait a été prouvé scientifiquement et est utilisé de plus en plus fréquemment pour des propos thérapeutiques spécifiques. Des scientifiques, autrichiens, ont étudiés comment la thérapie avec des chiens dans un cadre spécifique et comment un individu peut créer une situation sans stress grâce à la présence de l’animal.

Cette nouvelle étude montre que, pendant la thérapie de groupe, les chiens ne sont pas sujet à un plus grand stress que pendant leur temps de loisir (ndlr : à débattre). Les prérequis pour cet objectif sont l’implication volontaire et l’autodétermination des chiens. Ces résultats sont publiés dans le Journal of Veterinary Behavior. La thérapie appelée « assistée par l’animal » est utilisée de façon croissante souvent pour traiter des maladies physiques et mentales chez l’homme. « Pour les personnes stressés, les animaux peuvent servir de briseurs de glace sociale » et cela les motivent, et, premier lieu, pour être enrôlées dans une thérapie.

Mais, selon les auteurs, nous manquons amplement de standards applicables par les professionnels qui emploient les animaux en thérapie; et ils ont souhaité en établir. Quand les animaux sont sujets au stress pendant leur travail, cela peut avoir des conséquences négatives sur leur santé physique et psychologique. Quand les animaux sont en bonne santé, ils peuvent aussi bénéficier du bien-être des humains. Pas de stress dans les groupes de thérapie : Les chiens « thérapeutes » entraînés ne sont pas sujet à un plus grand stress pendant la thérapie que lorsqu’ils sont « en jours de repos ».

Les chercheurs ont abouti à cette conclusion en étudiant cinq chiens entraînés et expérimentés. Mes chiens étaient régulièrement présents dans leur groupe de thérapie avec des personnes toxicomanes et deux thérapeutes. Des prélèvements salivaires furent réalisés pour déterminer si les périodes de thérapie étaient stressantes pour les animaux. Dans les prélèvements salivaires pris chez les chiens à divers moments pendant et après la thérapie de groupe ainsi qu’à des moments variés pendant leur temps de « loisirs », les scientifiques dosèrent le cortisol, qui est un indicateur du niveau de stress chez le chien. De même, le comportement des chiens furent évalués par des films vidéo. Shetland Des moments de liberté : Les résultats ont fournis des données importantes.

« Les chien de thérapie ne sont pas sujet au stress pendant le type de travail de thérapie. Dans une étude antérieure, les chercheurs avaient montré que les chiens thérapeutes, qui travaillaient sans laisse, avaient des taux de cortisol moins élevés.  Donc, les chiens en laisse participant aux thérapies, avec l’aide d’un animal,  chez des malades psychiatriques sont moins relax que ceux libres de leurs mouvements. En fait cela dépend de leur liberté de mouvement, c’est-à-dire s’ils peuvent quitter la salle à n’importe quel moment. Les chiens doivent aussi pouvoir boire à n’importe qu’elle moment et pouvoir se déplacer dans la pièce librement.

Les symptômes des chiens stressés : Quand les chiens « thérapeutes » semblent incertains ou  craintifs, ils peuvent développer des symptômes comme chute de poils, pellicules, mâchonnements de la laisse, frissons, bâillements, léchage des lèvres, halètement ou diarrhée. Des anomalies plus subtiles peuvent aussi être observées comme refus de manger, refus du contact visuel avec l’homme, attention diminuée et capacité de se concentrer moindre. Les propriétaires de chien doivent prendre en compte sérieusement  les signes de stress aiguë lors de thérapie et doivent retirer leur chien de cette situation.

Une supervision régulière des chiens thérapeutes doit être mise en place. Les professionnels en psychologie sont accoutumés à une supervision comme la mesure de la santé mentale lors de réalisation d’expériences difficiles. Avec une surveillance des animaux, les spécialistes en médecine vétérinaire habitués aux recherches comportementales doivent être capables de détecter précocement des anomalies individuelles chez les chiens thérapeutes !